Evidemment elle est belle. Mais Diane Krüger se révèle aussi simple et sans fard. L'actrice allemande est très liée à la France, où elle a débuté sa carrière, et parle couramment le français, l'anglais et l'allemand. Mais c'est en Italie qu'elle fait ce mois-ci la Une de Elle. Et son histoire est celle d'une succès story.
Des cheveux blonds, un nez droit et surtout des yeux bleu clairs. Avec un tel physique, et malgré sa petite taille (1 m 70) Diane Kruger se fait repérer par l'agence de mannequin Elite dès l'âge de 16 ans. C'est le début de son histoire avec la France. Elle s'installe à Paris et apprend le français. Aujourd'hui, elle s'exprime parfaitement dans la langue de Molière, avec une pointe d'accent qui resurgit de temps en temps.
Elle ne se destinait pourtant pas au mannequinat mais à la danse classique. A 13 ans, elle intègre le Royal Ballet School de Londres mais une blessure au genou met précocement un terme à sa carrière.
Aujourd'hui, elle partage son temps entre Los Angeles et Paris mais reste attachée à la capitale. "J'aurais dû mal à me passer de Paris. Je me considère à moitié Française" avoue-t-elle à L'Express. Je me sens chez moi dans ce pays, a-t-elle ajouté à Closer. Je me vois vieillir en France". Elle a ses habitudes par exemple au Café de Flore, où elle donne la plupart de ses interviewes.
Aujourd'hui, elle partage son temps entre Los Angeles et Paris mais reste attachée à la capitale. "J'aurais dû mal à me passer de Paris. Je me considère à moitié Française" avoue-t-elle à L'Express. Je me sens chez moi dans ce pays, a-t-elle ajouté à Closer. Je me vois vieillir en France". Elle a ses habitudes par exemple au Café de Flore, où elle donne la plupart de ses interviewes.
Une carrière lancée en France
Si elle aime tant la France, c'est qu'elle a débuté sa carrière dans l'Hexagone. "Je n'oublie pas que c'est la France qui m'a donné mes meilleurs rôles", assure Diane Krüger à l'Express.
"Jeune, je n'aurais jamais pu imaginer devenir actrice et vivre en France. Mais je m'ennuyais énormément en tant que mannequin", raconte-t-elle à Thierry Ardisson en 2004.
Elle démarre avec un téléfilm français. Puis, en 2002, l'Allemande franco-américaine a le premier rôle dans Mon Idole, de Guillaume Canet. Et commence à se faire connaître dans l'Hexagone. Elle tourne ensuite dans un film de Cédric Klapish, Ni pour ni contre (bien au contraire). Et retrouve Luc Besson, dans Michel Vaillant, un film qu'il produit.
En France, elle rencontre aussi l'amour avec Guillaume Canet. Ils se marient en 2001 et restent 5 ans ensemble avant de divorcer.
En France, elle rencontre aussi l'amour avec Guillaume Canet. Ils se marient en 2001 et restent 5 ans ensemble avant de divorcer.
"La France m'a donné mes plus beaux rôles"
En 2004, elle se fait alors repérer de l'autre côté de l'Atlantique et devient Hélène, la reine de Sparte, dans Troie avec Brad Pitt et Orlando Blum. Depuis, elle tourne dans des films hollywoodiens comme Benjamin Gates, Inglourious Basterds et a une filmographie fournie.Mais on la retrouve régulièrement à l'affiche dans l'Hexagone où elle assure son propre doublage en français. En 2011, dans Les Adieux à la reine, elle joue le rôle de Marie-Antoine, reine de France, avec qui elle se trouve des points communs. En 2003, elle tient un rôle dans Guillaume et les garçons à table de Guillaume Gallienne.
Elle monte plusieurs fois les marches de Cannes et est même la maîtresse de cérémonie du festival en 2007.
Tiphanie Naud- Lepetitjournal.com - vendredi 23 janvier